Ô mon pote Bicho, tes parti suivre ta propre lumière vers l'au-delà... que ta nouvelle route soit heureuse, pleine de jardins arborés et de belles rencontres... merci pour toutes ses années de chaleureuse compagnie, de discrète patience et de fidèle présence.
C'est désormais certain, la planète se réchauffe (et ceci n'a absolument rien à voir avec la récente et soudaine prolifération des "bombas latinas"), toutes les mesures scientifiques des dernières années le prouvent, la température de notre mère Terre grimpe de manière constante et, semble-t-il, inéluctable...
Un "beau jour", toujours "beau" paraît-il, malgré les conditions climatiques exécrables, malgré les nouvelles du monde les plus atroces, malgré les disparitions qu'on ait pu regretter, malgré la énième défaite du PSG, malgré tout donc, ce "beau jour" là nous sommes venus au monde (à croire qu'on n'avait rien de mieux à faire). Nous arrivons donc, et, bizarrement, côté fonctionnalités, on nous livre assez démunis à vrai dire (on a eu beau râler comme des fous, vers 4 heures du mat, personne nous prenait au sérieux). Enfin, tout de même, nous disposons, dès notre arrivée, d'un ensemble d'outils sensoriels qui, avec le temps, vont s'avérer fort pratiques et qui, en général, sont assez bien foutus, il faut bien le reconnaître (hormis, à mon avis, pour certains choix de design et d'ergonomie quelque peu discutables, mais bon, faudra s'en contenter, le bureau de réclamations reste toujours désespérément muet aux innombrables plaintes, et Dieu sait s'il y en a). Tout ceci est très bien sauf que, hélas, la plupart de ces sens ne sont pas opérationnels à 100% dès le début (du travail bâclé j'vous dis), c'est le cas notamment de nos capacités de perception visuelle.